La lecture des récits de ces patients qui ont accepté courageusement de raconter leur thérapie, permet de constater, effectivement, que l’amour « désaliéné » guérit.
« …Je m’appelle Violette, J’ai glissé dans la mer et me suis laissée couler, pour en finir avec la vie. J’étais coupée du monde. Un jour, je me suis retrouvée échouée sur la plage avec à mes côtés une femme qui m’a invitée à aller aux « Urgences » de son cabinet. Elle a pris soin de moi durant 10 ans ! Petit à petit, je suis remontée à la surface … Elle a un don ! Celui de donner de l’amour sans compter. Cet amour a été le médicament qui m’a sauvé.» Parler de don est sans doute excessif car, lorsque le thérapeute est suffisamment avancé sur ce chemin, il laisse simplement sa capacité d’empathie s’exprimer avec un meilleur discernement…